La naissance puis la mort, se débattre
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La naissance puis la mort, se débattre
Depuis longtemps six pieds sous terre.
Un déchirement dans le silence,
Un cri que jamais rien ne peut taire.
Je suis détruit, la douleur m'élance.
La mort s'extirpe, la vie m'envahit,
Ma mort est finie, maintenant, je vis.
Que sonnent les trompettes!
Que sonnent les trompettes!
Pas de résurrection en tête,
Mais juste une vie qui s'apprête.
Une vie à vivre, un amour à donner,
Vivre d'abord, afin de pouvoir aimer.
J'espère ne pas m'être trompé,
Auquel cas je n'y survivrai...
Que sonnent les trompettes!
Que sonnent les trompettes!
Les trompettes de la destinée,
Elles n'en finissent de résonner...
________________________________________________
Quel est ce monde vide de mon Ange ?
Un monde vide, hostile et froid…
Pourquoi y suis-je, encore une fois ?
J’y ai été enfermé, sans ménage…
Elle est la seule et unique clé
Qui me sortira de cet inextricable enfer.
Ravivant mon amour, mon air,
La lumière à travers mes yeux décédés.
Mais le temps est long et glacial,
L’attente est atroce, elle me blesse.
J’attends, mort d’un jour de liesse,
Sur ces pierres froides, dans ce dédale.
________________________________________________
Premier Homme sur la ligne de front,
Tu cours derrière, chair à canon.
Ton Soleil se lève, ton horreur se tait.
Humain bestial, à jamais,
Tu défends ta vie, ta chair tendre,
De quiconque voulant te la prendre.
Un déchirement dans le silence,
Un cri que jamais rien ne peut taire.
Je suis détruit, la douleur m'élance.
La mort s'extirpe, la vie m'envahit,
Ma mort est finie, maintenant, je vis.
Que sonnent les trompettes!
Que sonnent les trompettes!
Pas de résurrection en tête,
Mais juste une vie qui s'apprête.
Une vie à vivre, un amour à donner,
Vivre d'abord, afin de pouvoir aimer.
J'espère ne pas m'être trompé,
Auquel cas je n'y survivrai...
Que sonnent les trompettes!
Que sonnent les trompettes!
Les trompettes de la destinée,
Elles n'en finissent de résonner...
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Quel est ce monde vide de mon Ange ?
Un monde vide, hostile et froid…
Pourquoi y suis-je, encore une fois ?
J’y ai été enfermé, sans ménage…
Elle est la seule et unique clé
Qui me sortira de cet inextricable enfer.
Ravivant mon amour, mon air,
La lumière à travers mes yeux décédés.
Mais le temps est long et glacial,
L’attente est atroce, elle me blesse.
J’attends, mort d’un jour de liesse,
Sur ces pierres froides, dans ce dédale.
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Premier Homme sur la ligne de front,
Tu cours derrière, chair à canon.
Ton Soleil se lève, ton horreur se tait.
Humain bestial, à jamais,
Tu défends ta vie, ta chair tendre,
De quiconque voulant te la prendre.
Zebub- Ange écorché et pervers
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Date d'inscription : 13/10/2008
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